Paris, le 18 juillet 2016 – Passé le délai de deuil, il est impératif d’en venir au temps de la réflexion et de l’action.
N’opposer qu’une réponse sécuritaire, pour aussi nécessaire qu’elle soit, à l’attaque terroriste, revient à admettre que l’initiative reste à l’attaquant, face auquel le chef de l’État ne ferait que réagir.
L’action doit, elle, répondre à l’exigence de paix et de vie que nous exprimons...
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