France3 Champagne-Ardenne
Extrait :
Jacques Cheminade, fondateur du Parti Solidarité et progrès, énarque dissident et ancien fonctionnaire au ministère de l’économie et des finances est déjà en campagne pour 2017.
Pendant deux jours il doit rencontrer cinq maires de l’Aube pour leur présenter son programme et solliciter leur parrainage. Avec le nouveau maire de Chennegy, Daniel Duchange, il a évoqué ses chevaux de bataille. Parmi eux, la séparation indispensable des banques de dépôt et des banques spéculatives et la nécessaire refondation de l’Europe, ainsi que les difficultés dans le milieu rural.
Jacques Cheminade, candidat à l’élection présidentielle
Source : France3 Champagne-Ardenne
L’Est éclair : le candidat à la présidentielle dans l’Aube
- Le maire de Chennegy (à gauche) s’est entretenu avec Jacques Cheminade. (Crédit : Est éclair)
Le candidat à l’élection présidentielle Jacques Cheminade a rencontré plusieurs maires de l’Aube. Il a commencé à Chennegy où le maire, Daniel Duchange, a échangé avec lui sur différents sujets.
À 74 ans, Jacques Cheminade s’est déjà présenté à l’élection présidentielle de 1995 et 2012.
Source : Est éclair
RTL : Jacques Cheminade, un Bernie Sanders à la française
Extrait :
Il part à la conquête des 500 parrainages (...). Après avoir réussi à les obtenir en 1995 et en 2012, Jacques Cheminade prétend y parvenir une nouvelle fois. En 2017, il représentera les couleurs de Solidarité et Progrès. C’est la première fois que l’homme de 75 ans part aussi tôt dans la bataille. « La dynamique de la campagne m’intéresse. Cette fois, on est plus sûrs que jamais d’avoir nos 500 signatures », raconte-t-il (...).
L’homme de 75 ans (...) ne croit pas présenter la candidature de trop. « Il y a un effet Bernie Sander s » dans ma candidature. « Il a mon âge et, comme moi, il est entouré de jeunes », analyse-t-il dans le local de son parti, qui compte à ce jour 2.000 abonnés au journal et 100.000 connexions au site internet. « Je reviens plus que jamais disposé à contester le système mis en place il y a une trentaine d’années. On assiste à une crise de civilisation », estime-t-il.
« J’y retourne parce que j’ai une expérience personnelle et reçu de nombreux coups. On a tout dit sur moi : que j’étais du KGB, de la CIA ou encore antisémite. Je suis plus blindé, je vis ces attaques avec moins d’émotion et de passion et je réponds par du dédain. Je suis plus armé »
Source : RTL